La Langue Allemande

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Car la literature allemande était mon sujet d’étude dans l’université, j’ai pensé que ça serait appropos à includer quelques morceaux de mes poèmes allemandes preferées, avec les traductions françaises.  J’ai fini l’université il y a longtemps, mais j’ai habité en allemagne pour une année, et j’ai une connection à l’allemagne par ma famille.  Je suis allé en allemagne pour visiter de temps en temps.

Les traductions donneront a vous une idée de la significance des poèmes originales.  Dans le fin j’ai de connections a quelques pages d’Internet aussi, que donnent plus d’information de l’allemagne et de la langue et culture allemande aussi.

La poème suivante est de la Moyen-age, et originalement on l’a ecrit dans la vielle dialecte de l’allemand Mittelhochdeutsch:

DIE GROßE HEIDELBERGER LIEDERHANDSCHRIFT (Auszug) (14es Jahrhundert), von Walther von der Vogelweide.

Walther von der Vogelweide

Walther von der Vogelweide

Ich saz ûf eime steine,
und dahte bein mit beine;
dar ûf satzt ich den ellenbogen;
ich hete in mîne hant gesmogen
mîn kinne und ein mîn wange.
Dô dâhte ich mir vil ange,
wie man zer werlte solte leben:
Deheinen rât kond ich gegeben,
wie man driu dinc erwurbe,
der keinez niht verdurbe.
Diu zwei sind êre und varnde guot,
daz dicke ein ander schaden tuot,
daz dritte ist gotes hulde,
der zweier übergulde.
Die wolte ich gerne in einen schrîn.
Jâ leider des enmac niht sîn,
daz guot und weltlich êre
und gotes hulde mêre
zesame in ein herze komen.

(Kelling, Hans-Wilhelm. Deutsche Kulturgeschichte: Preliminary Edition . New York: The McGraw-Hill Companies, Inc., 1996, page 66-67.)

Traduction francaise: LA GRANDE COLLECTION DE CHANSONS DE HEIDELBERG (morçeau) (manuscrit , 14ème Siecle), de Walther von der Vogelweide.

Grosse Heidelberger Liederhandschrift

Grosse Heidelberger Liederhandschrift

J’était assis sur une pierre,
Et j’ai croisé jambe avec jambe:
En haut j’ai mis la coude;
J’avais mis dans le main
le menton et une joue.
J’ai médité là avec grand souci
Comment on doit vivre dans le monde.
Je ne pouvais pas donner aucun conseil,
Comment on acuérait trois choses,
De quelles rien se ruinerait.
Les deux sont l’honneur et les possessions du monde,
Que ne sont pas compatibiles;
La troixième est la grâce de Dieu,
Que surpasse tous les deux.
J’aimerais bien les avoir ensembles dans une sanctuaire.
Mais malheureusement ça n’est pas possible,
Que les possessions et l’honneur du monde
Et la grâce de Dieu jamais
Viennent ensemble dans un cœur.

(Kelling, Hans-Wilhelm. New York: The McGraw-Hill Companies, Inc., pages 66-67.)

Cette poème est très célèbre dans la literature allemande.  La première section donne a nous l’image de quelqu’un qui s’assied dans la position classique philosophe (d’une personne qui pense), qui se demande comment vivre.  La deuxième partie montre les conclusions du philosophe.  Il y avait trois choses importantes dans la société allemende de cette époque: l’honneur, les possession materiales, et la Grace de Dieu.  Il a fait la conclusion que la Grace de Dieu est la plus importante, mais que c’est impossible gagner ou avoir toutes de ces choses a la même fois.  Cette pièce de literature est célèbre parce que c’est une des exemples les plus près de pensée politique en allemagne des Moyen-Ages, et parce que ça montre la pensée de cette époque.  La contemplation philosophique ici est valide même aujhourd’hui pour quelques personnes.  Cette pièce de literature est ne coutime pour cette époque, parce que normalement les poèmes de cette époque étaient tre idealistiques, et ont discouté les virtues de l’amour, l’honneur, et loyauté, principiellement l’amour que on ne pouvait pas realiser (les poèmes des troubadours, ou en allemand Minnesang).

Mes interesses en la literature allemande sont diverses, mais aussi obscures!  J’ai une interesse especiellement dans les vielles dialectes mortes des langues germaniques.  L’exemple suivante est interesante à cause de ça.  Cette langue s’appelle la gothique.  Les tribus des gothes ont parlé cette langue, et c’etait une langue germanique de l’est.  Le missionaire Wulfilas a inventé la forme ecrit de cette langue pour les gothes, quand il les a converti à christianisme.  Malheureusement, la Bible Sacrée est la seule materielle écrite qu’ encore existe dans cette langue.  Voici une sample (Matthieu 5, 17-19):

17 Ni hugjaiþ ei qemjau gatairan witoþ aiþþau
praufetuns; ni qam gatairan, ak usfulljan. 18 amen auk qiþa izwis:
und þatei usleiþiþ himins jah airþa, jota, ains
aiþþau ains striks ni usleiþiþ af witoda, unte
allata wairþiþ. 19 iþ saei nu gatairiþ aina
anabusne þizo minnistono, jah laisjai swa mans, minnista haitada in
þiudangardjai himine; iþ saei taujiþ jah laisjai swa,
sah mikils haitada in þiudangardjai himine.

(Braune, Wilhelm. Gotische Grammatik Mit Lesestücken und Wörterverzeichnis. Neu Bearbeitet von Ernst A. Ebbinghaus. Tübingen, Germany: Max Niemeyer Verlag, 1981, page 144.)

J’ai inclué cette exemple pour montrer un petit peut de cette langue obscure.  Si vous voulez le comprenedre, vous devez regarder sous Matthieu 5, 17-19 de votre version de la Bible préférée.

Je suis aussi tres interessé en types d’imprimer et d’écriture.  En allemand, on a utilisé une forme especielle d’imprimer que s’appelle Fraktur, une forme gothique d’imprimer.  À la même fois, on a utilisé une style d’écriture especielle aussi.  Je trouve cette forme très elegante, mais c’est très difficile à lire.  Voici les formes de l’alphabet Fraktur et l’equivalente en écriture aussi, et vous pouvez avoir une idée de comment ça functionne.

J’ai aussi une grande interesse dans les dialectes de l’allemand, car ils sont très diverses.  Quelqu’un qui parle une dialecte de l’allemand de l’allemand souvent ne peut pas comprendre une autre dialecte, mais presque tout le monde comprend Hochdeutsch, la forme de l’allemand qu’on apprend en école.  Ma dialecte preferée est le Plattdeutsch (l’allemand bas), qu’on parle dans la partie nord-ouest de l’allemagne, parce que la plupart de ma famille allemande (du côté de ma mère) ont parlé cette dialecte originalement, et c’est la dialecte indigène de la Brême (Bremen), la ville ou j’ai habité et etudié pendant une année.  Malheureusement, Plattdeutsch est en train de mourir.  C’est comme une dialecte de l’hollandais avec la pronunciation allemande.  Qu’est-ce que je peux dire…c’est très près a mon cœur.

Quelques pages d’Internet de Plattdeutsch:

  1. Les nouvelles dans l’allemand bas (Plattdeutsch). Les nouvelle courantes en Plattdeutsch!
  2. Plattdeutsch Comedie! une programme de comédie de la télé, que montre quelqu’un qui vole une banque.  Il ne comprend pas Plattdeutsch, et ça c’est chere pour lui…vous pouvez entendre Plattdeutsch et Hochdeutsch (la forme de l’allemand officielle) ici pour comparer.  L’humor est très allemand!
  3. Hör mal n beten to (“Écoutez un petit peu”)—une podcaste en Plattdeutsch.

Information Generale de l’Allemagne:

  1. www.germanculture.com.ua, une source d’information de la culture et la langue allemande.
  2. www.german-way.com., pour beaucoup d’information de l’allemagne, et aussi les groupes de discussion.
  3. www.focus.msn.de/F/FS/FSN/fsn.htm, pour la magazine de nouvelle “Focus” (en allemand).
  4. german.about.com/od/radioingerman, pour les stations de radio allemandes.
  5. www.wdr.de, pour Westdeutscher Rundfunk (la Radio allemande de l’Ouest, en allemand).
  6. www.dw-world.de, pour Deutsche Welle, la service de nouvelle allemande internationale.
  7. www.ard.de, pour les nouvelles sur la television en allemand.
  8. www.radiobremen.de a les nouvelle de la Breme (Bremen) et de l’allemagne du nord.
  9. german.about.com a de bonne information de la langue allemande.

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